Actus du groupe,  dossier de presse

dEUS sur des charbons Ardents

Visiblement, la prestation des belges a été plus que remarquable et remarquée ce week end au festival liégeois. Avec, en point d’orgue, un Suds & Soda qui a vu près de 200 personnes investir la scène à l’invitation d’un Tom Barman qui n’y croyait pas lui-même… Une moment exceptionnel, voire d’anthologie, puisque même noyé dans cette masse (ce qui peut paraitre un tantinet effrayant) tout s’est très bien passé. On ne sait pas trop si le groupe réitèrera l’expérience, mais les chanceux qui ont le bonheur de se retrouver sur scène pour partager ce moment avec dEUS ont du se retrouver un instant au paradis.

Retour sur ce moment et l’ensemble de la prestation dans la presse de ce jour:

lavenir.net: Les Ardentes, instants mémorable

[quote style=”1″]«On se demandait s’ils allaient faire le job. Ils y ont été à fond, c’était presque émouvant», se félicite le programmateur des Ardentes Fabrice Lamproye. La bande a Tom Barman a sans doute livré l’un des meilleurs concerts de l’histoire du festival, samedi. Un live sous forme de best-of, qui a débuté avec The Architect, puis une série de singles. La fin du concert restera dans les mémoires, avec des dizaines de personnes invitées à monter sur scène sur le tube historique, Suds and Soda. If you don’t get what you want et Roses pour terminer et le public était plus que conquis.[/quote]

Blog lalibre.be letitsound: Des hommes et des dieux

[quote style=”1″] Chef de file du rock belge indé, le groupe dEUS a encore fait parler de lui, en 2012, en publiant un album surprise (“Following Sea”), huit mois seulement après “Keep You Close”. Samedi, emmené par un Tom Barman bien allumé, il a livré un concert somptueusement fiévreux et puissant, n’oubliant aucun de ses sept albums et y ajoutant une reprise de Fleetwood Mac, “Oh Well”. C’est sur scène, quant à eux, que les Belges ont mis le boxon, quand Barman a invité les festivaliers à le rejoindre le temps d’un “Suds and Soda” explosif. Prise d’assaut et de soubresauts, noire de monde, la scène a vibré. La plaine aussi. “C’était quoi ça ?” a lancé le chanteur, heureux et ébouriffé. Dimanche soir, avec – M–, les Ardentes allaient sans doute connaître un autre concert du feu de Dieu.[/quote]

Blog lalibre.be letitsound: M, après la journée de la femme

[quote style=”1″]dEUS a foutu une sacrée pagaille samedi soir. En exhortant la foule à venir sur scène pendant le début du rappel et Suds and Soda, Tom Barman ne pouvait pas imaginer que ce serait plus ou moins deux cents personnes qui répondraient à son invitation. Les Anversois que l’on distinguait à peine ont assuré comme des bêtes le morceau étant joué impeccablement. “On the bass guitar Alan Gevaert, qui est quelque part par là.” Tom Barman était hilare. Et même étonné après coup que sa scène soit restée intacte. “On ne nous a rien piqués, c’est étonnant.”[/quote]

lavenir.net: dEUS et Kaiser Chiefs mettent le feu: les photos du samedi des Ardentes

[quote style=”1″]En soirée, dEUS tenait le haut de l’affiche. Malgré un volume sonore à vous briser les tympans, force est de constater que les concerts délivrés par Tom Barman et sa bande constituent toujours de magnifiques expériences musicales. Le groupe a entamé le live par quelques singles, dont “The Architect” d’entrée de jeu et “Instant Street” très rapidement. Une mise en bouche qui a permis de se plonger d’emblée dans l’ambiance.

Après un set mélangeant les titres de leurs différents albums, le public retiendra une fin de concert qui fera date aux Ardentes. Des dizaines de personnes ont été invitées par Tom Barman à monter sur scène pour “Suds and Soda”, le tube historique, qui a été joué dans la frénésie la plus totale, les gens sautant et se marchant sur les pieds sur l’Open Air. Pour achever le concert, rien de tel que “If you don’t get what you want” et, enfin, un toujours très captivant “Roses”, qui ont définitivement satisfait le public.[/quote]

Frontstage Le Soir: Vis ma vie de drone en festival : dEUS

[quote style=”1″]L’internaute a préféré Anvers à Bruxelles, dEUS à Soldout. Soit : ce que l’internaute veut, Frontstage le peut (parfois). En même temps, la venue à Liège de Tom Barman et ses hommes faisait un peu figure d’événement. Ils n’avaient jamais joué aux Ardentes, et les organisateurs rêvaient de les confirmer un jour.

Au vu du concert de samedi, une seule conclusion s’impose : ils ont bien fait de ne pas avoir lâché l’affaire !

En cette soirée de Springsteen à Werchter, il y a pourtant aussi un Boss sur les rives de la Meuse ! Le groupe que Fabrice Lamproye désirait avoir dans « son » festival n’est certes pas à la traîne, mais c’est évidemment vers Tom Barman que tous les yeux se tournent dans un premier temps. L’homme est chaud, et ça se voit !

« The architect » ouvre le bal. Ou plutôt devrais-je dire le feu d’artifice ? La dernière fois que dEUS s’est montré aussi explosif sur les planches, livrant un concert tendu, exceptionnellement imprévisible à certains égards doit remonter à un bon moment.

Dans son coin, le fidèle Klaas Janszoon passe du violon aux percussions et aux claviers. De l’autre côté, Mauro fait corps avec sa guitare comme jamais. Dans les premiers rangs, Lou Doillon, elle, n’en perd pas une miette.

« Les Ardentes, c’est la première fois, confirme donc Barman, et on est assez excités ! » L’excitation, elle est aussi palpable au pied de la scène. A l’entame d’« Instant street », par exemple. En réaction au long cri que pousse le même Mauro au début de « Sun Ra ». Pendant le (seul) passage romantique de ce set, avec « Nothing really ends » : l’instant fondant. Ou sur le long et hypnotique « Bad timing ».

Plus souvent traversé de moments de sauvageries, le concert s’achève sur un « Suds & soda » d’anthologie, accompagné par un envahissement de scène généralisé (et sollicité par le patron). Deux morceaux viennent ensuite agrémenter les rappels : « If you don’t get what you want » et le toujours très attendu « Roses ». Fabrice Lamproye affiche un sourire béat, comme quelques milliers de personnes autour de lui. Et… merci, l’internaute, c’était grandiose ![/quote]

(photo : ©René Breny – Le Soir)

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