Un commentaire

  • deusfr

    le cas dEUS est un cas à part. Il y a très peu d’artiste que j’arrive à suivre dans la durée. Dans ma jeûûnesse, j’amais (et j’aime toujours) les albums des Red Hot Chili Peppers. Jusqu’à One hot minute (qui a été injustement conspué par les critiques), je trouvais qu’il y avait une réelle force dans leur musique de barrés. J’ai complétement décroché quand c’est devenu niant-niant, et vas y que je me prend pour les Beatles, et je fais une chanson où parle des petits oiseaux tout ça pour dire que j’ai arrêté la drogue… Ca n’était plus les Chili Peppers, c’est devenu les Chili Pépères.

    Pour dEUS, c’est différent. La longévité du groupe tient presque du miracle (et plus particulièrement d’un concert parisien). Beaucoup trop d’égo au début, genre “on est jeune, on est con”, avec certes des compos d’une maturité exceptionnelle mais ça ne pouvait que clasher. Tom Barman était presque le seul à vouloir vraiment y croire quand un Rudy Trouvé voulait presque que le groupe reste un groupe d’initiés qui arrête de faire des concerts dans les festivals. Idem pour Carlens. Barman était quasiment le seul à vouloir faire de dEUS un Groupe avec un grand G. dIEU seul sait ce que serait devenu le groupe sans ces départs. Moi, je m’en tape (en plus, je suis athée). Certes, ces derniers temps, il y a du bon et du pas très bon… Mais pour moi un mauvais dEUS restera toujours meilleur qu’un bon… Coldplay, par exemple.

    Et, patience, pour ceux qui n’aurait pas encore posé ses oreilles sur Keep You Close: c’est un album énorme!

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