Actus du groupe,  dossier de presse

La presse parle de Following Sea

Voici quelques retours (mitigés) de la presse suite à la sortie de Following Sea.

Lesoir.be

[quote style=”1″]Alors, un disque de faces B, ce “Following Sea” ? Après quelques écoutes seulement, on peut affirmer que de fait, il y a à boire et à manger dans ce disque. Mais après un titre surprenant et très réussi en ouverture – « Quatre mains », sorte de BO de film aux accents gainsbourgiens en français dans le texte (une première pour le groupe), une ballade hantée, entre jazz, soul et psychédélisme (« The Give Up Gene »), force est de constater que peu de choses nous ont réellement marqué – pour l’instant. Reste qu’on sent dans ce disque une liberté de ton et une spontanéité absente chez dEUS depuis… « In A Bar, Under The Sea » ? Quasiment. Le groupe bidouille avec les sons et les styles, cherche, s’amuse,… et expérimente à nouveau. Et ça passe et ça casse. Les risques du métier, en somme.[/quote]

Soulkitchen

[quote style=”1″]On nous avait dit que Following Sea serait moins noir que Keep You Close. Je ne sais pas si c’est vrai. Parce que je n’ai pas dans l’idée que Keep You Close ait été un album noir. Mélancolique peut être. Ce que je sais par contre, c’est qu’avec Following See, dEUS prouve une nouvelle fois qu’ils savent non seulement faire des mélodies mais qu’en plus ils savent comment les arranger. Il en ressort un album rythmé qui oublie de susciter l’ennui. Sur la fin de l’album, dEUS laisse entendre une fusion pleine de nervosité qui n’est pas sans rappeler les premières heures du groupe. [/quote]

Francetv.fr

[quote style=”1″]Ces dix titres souffrent, pour la plupart, d’un effet “déjà vu, déjà entendu”. Seul le morceau “Quatre mains” qui ouvre l’album crée la surprise. Le Flamand Tom Barman chante en français – on peut imaginer le poids de cet engagement à Anvers, dans une Belgique toujours tourmentée par ses querelles linguistiques – et c’est épatant ! Le texte a des côtés psychédéliques, déjantés (“La vitesse d’une pensée glauque s’installe dans ma motricité”, “Des siècles d’impatience me poussent vers l’aube”, ou le somptueux “C’est presque le contraire de nulle part, et pourtant, c’est l’équivalent de rien… ” que Jean-Claude Vandamme n’aurait pas désavoué), mais il fonctionne vraiment. La voix grave et puissante de Barman emporte le morceau, c’est surprenant, et d’une grande élégance. [/quote]

Sputnikmusic.com

[quote style=”1″]Cela ne veut pas dire que l’album est mauvais, mais Following Sea se sent rarement plus qu’une simple collection de chansons décentes. L’année derni§re Keep You Close était un album cohérent de travail, avec un bon rythme et tournant autour d’un concept thématique précise. En outre, il a également été une nouvelle direction musicale pour le groupe, qui ont été récompensés. De fait, nous avons un album qui tout juste dans la norme, en dehors de quelques gimmicks. Celui qui retient immédiatement l’attention est le fait que le premier single «Quatre Mains» est chanté en français, quand les autres chansons sont en anglais. Les paroles elles-mêmes sont superbes, et sont vraiment bien complétées par le background musical, mais vous pouvez entendre le chanteur Tom Barman aux prises avec la diction et même si c’est une expérience nouvelle, la chanson ne va pas trop bien avec le reste des pistes.[/quote]

Lalibre.be

[quote style=”1″]Tout en manifestant une chaleur et une fluidité déjà présentes dans “Keep You Close”, “Following Sea” s’affirme moins lyrique, moins éclaté (en termes d’arrangements), plus brut, direct. Sans doute y souffle-t-il (c’est évident, côté textes) le vent de l’océan. Tom Barman vit désormais une partie de l’année au Portugal, dans une maison face à l’Atlantique. Il y a du soleil, en tout cas, dans le refrain de “Crazy About You”. Et de l’air – et du mystère – dans l’envoûtant “The Give Up Gene”, ponctué par un gimmick de berimbau (un instrument à une corde utilisé dans la capoeira). “One Thing About Waves”, lui, fournit une solide conclusion, électrique, orageuse, à l’album.[/quote]

 

Un commentaire

  • auerfellow

    j’ai l’impression que Tom a flashé sur l’été indien de Joe Dassin…Plus sérieusement, il y a de très bons trucs.

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